Avec le temps, j’ai oublié que j’écrivais des fictions. Je m’en suis souvenue en retrouvant mes cahiers de roman rédigés à l’adolescence. Je ne m’en pensais plus capable, mais j’ai décidé de m’y mettre quand même pour voir. Devant la page blanche, Naïm est né. Au fil de la rédaction, je savais que je voulais faire intervenir une femme, enseignante de sciences religieuses.